Les mèches blondes de tes cheveux roux ondulent sous la tempête de mes assauts incéssents, elles volent me collent au visage m'en font voir de ces mirages, telle est la vision que j'ai gardé de nous de cette histoire du temps où nous étions amants, même si de force cet enfoiré m'a arraché la dernière page. Les yeux verts d'un amour de pacotille,les seins fermes d'un désir ardent, j'y repense aujourd'hui je n'oublierai jamais qui tu étais cette vague une superbe fille que j'aimais embrasser, que j'aimerais m'y replonger mais l'eau est maintenant bien trop froide. un regard une seconde juste une dernière, la quatrième de couverture me fait bien trop de mal. elle ne me suffit pas. je suis mort de trouille je me mord à sang, à vie de toi de ton souvenir de tes doigts j'en oublie ce que je suis devenu, je revis cette sensation celle d'être gamin de n'être qu'un enfant, toujours heureux jamais content un peu perdu. on ouvre un nouveau livre ou peut-être est-ce le même, seulement le chapitre d'après, le suspense reste entier ce soir je ne me couche pas j'ai à faire. j'ai de la lecture. et pourvu que ça dure.