NoBrainNoPain

Pas de cerveau, pas de migraine

Vendredi 25 septembre 2009 à 20:07

tes yeux se marrent et c'est bien sale, un bras une jambe comme un truc en moins quelque chose de différent ou l'air de rien. La gueule de con donne de la voix montre le chemin mais c'est pas lui qu'il nous faut moi c'est de toi dont j'ai besoin et ça craint. Tu la retrouves tu l'embrasses tu la retournes, nue elle te déshabille encore, enlève lui ses os ne laisse que la peau la chaire et le sang son sang qui coule lorsque tu la griffe mon sang qui boue lorsque je te mords ta bouche qui rit tu me touches et j'ai peur tu me fou la frousse je suis à ses trousses je cours plus vite elle ne se rapproche pas elle n'avance pas non plus je recul et moi je t'enc. Vous êtes belles enlacez vous embrassez moi sur la joue tournez moi le dos dites lui qu'il est beau mais pas trop que je suis sot que je rêve allons y jouons avec le sable et vos pelles la salive et la langue les rateaux les châteaux de bitch et de cartes qui s'écroulent qui se montent que je monte que je saute que tu te mettes à genoux que tu pries le bon Vieux de te laisser t'épargner ce salop fils de trop père de vous père de tous mais de toi avant tout.
C'est sa faute si t'es là c'est ma faute si t'as froid cours encore une fois cours la chercher cette petite dame aux cheveux chocolats cours toujours tu n'y arriveras pas elle n'en veut plus, plus de toi c'est à moi rien qu'à moi. Deux pour moi et voilà qu'on est trois.

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Lundi 21 septembre 2009 à 0:39

te plaquer contre le mur te regarder rougir s'embraser sous les baisers on se mord jamais trop fort te prendre par la taille se prendre sur la paille crier ou s'essouffler t'entendre gémir hurler au plaisir saigner de désir te regarder partir m'attendre et revenir se fatiguer je n'ai plus peur de nos échecs de la sueur j'en veux encore j'en demande à tort de tes envies de cet effort toi et moi pour la nuit elle et lui pour la vie pour l'histoire pour les enfants pour la musique ce parfum enivrant cette peau qui me ment ces ongles qui me tuent cette bouche et ce cul cette aventure de rupture ce chemin du j'aimerais bien cette chanson du je ne veux plus toujours cette bouche et toujours ces ongles et encore ce regard ces cheveux et puis ce cul. toujours encore et encore je n'en peux plus. t'étais belle et j'étais là tu pensais je te regardais t'étais celle et j'étais moi je te voulais on s'embrassait t'étais reine et j'étais proie. t'étais j'aime et j'étais toi.

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Vendredi 18 septembre 2009 à 19:25

charlie ou es-tu charlie charlie je t'ai perdu charlie je n'en peux plus tu me manques charlie charlie reviens ici tu étais beau et grand, sacrément intelligent quelques fois intéressant mais charlie écoute moi charlie charlie tu ne peux pas t'en aller comme ça charlie charlie maintenant j'ai froid, j'ai foid sans toi charlie charlie regarde moi j'ai peur charlie j'ai peur qu'il soit trop tard de ne jamais te revoir de ne jamais te parler charlie je t'en prie je t'en supplie charlie me voilà attends moi charlie charlie je ne veux plus crever.

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Mercredi 16 septembre 2009 à 19:15

Filip est mort. Il vient de partir un jour et pour le retour il peut se brosser. Mais les amis je vous le dis comme je le panse, comme je pense cette blessure ce manque ce vide ce rien, la mort c'est moche. Les morts sont moches. Il ne font plus rien et deviennent laids pourrissent et puent, et tout et tout. Quoique Bambi lui était déjà pas bien beau et ne fesait plus grand chose, mais c'est pas le sujet. La mort ça craint. Sans lui on ne vit plus bien de la même façon, on essaie de le remplacer mais le masque ne prend pas et vous coule sur la tronche entre deux sanglots, on essaie de l'oublier mais le souvenir reste gravé sur sa pierre tombale, et quand on va la voir pour l'arroser de temps en temps on se souvient que c'était quelqu'un de bien. On essaie de vivre avec même, mais évidemment on fait sans puisqu'il s'est enfuit là où on ne peut pas aller l'emmerder, alors on l'invente on se dit qu'il est à nos côtés qu'il est heureux d'y être qu'il vous surveille qu'il prend soin de votre petit cul qu'il vous protège qu'il est fiere de vous qu'il vous aime et vous attend qu'il est dans votre coeur alors que c'est plutot dans vos tripes qu'il s'amuse à tout détruire, qu'il vous déchire le ventre vous donne envie de gerber vous rend malade vous fait cracher bile et sang vous regarde pourrir tout ça parce que lui a préféré mourir.
Quand on vous dit que la vie est belle.

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Mardi 8 septembre 2009 à 22:24

ouvre les yeux petite fille. vois comme mes mains son grandes comme mes poings sont forts. vois comme tu es jeune comme tu es belle comme tu es conne même si je le sais maintenant, je le sais que c'est toi la bonne. petite fille deviendra grande salope et petit homme restera derrière, largué par tant de changement.

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